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E.Parwis, la vie d'un inconnu

19 août 2011

Les beaux parleurs peuvent avoir des tonnes de

Les beaux parleurs peuvent avoir des tonnes de meufs en quelques phrases, en quelques mots. L'ennui, c'est que les femmes qu'ils veulent, il ne les auront jamais.

 

Je suis un beau parleur. Pas forcément beau. Un certain charme, selon certaines. Rien de plus. Je ne me trouve pas enviable. Pas immonde non plus, mais pas beau. Moyen. Moyen bas même. En 1 mois, j'ai réussi, avec mes belles paroles, à gagner trois meufs. J'ai réussi à en faire craquer trois. Sur les trois, j'en est perdu deux. La première était niaise. Facile à avoir. Emballée en deux heures, dommage pour elle. Virer au bout d'une semaine pour une autre.

 

Cette autre, V., femme parmi les femmes. J'ai mis du temps. On a commencé par des situations ambigue. Je te prends la main, je te prends sur mes genoux, je danse avec toi pendant les représentation. On finit par se voir, une après midi. Une après midi géniale. Un jeudi. J'ai une copine, jusqu'au dimanche.

 

La troisième. Au fil du temps. Parlons peu, parlons bien. Elle m'appartient, et ce pour mon grand malheur. V. me manque, la troisième met des coeurs sur mon mur Facebook. V. me manque. Elle me fait un effet qu'une seule m'avait fait. Marion. Y'a un an. Mon seul amour.

 

Les filles me manquent. Surtout Anaïs, je m'en rend compte. En deux, je ne sais toujours rien de sa vie hors lycée. Et pourtant, je l'aime. Ce n'est pas de l'amour, enfin si, c'en est. C'est l'amour que je porte à mes amis, à ma famille, à mes proches. Distante, souvent froide, souvent joueuse. Des câlins rares et précieux. Elle me manque, et me manquera l'an prochain au lycée.

 

Je suis en bad ce soir. Million Dollar Baby n'y est pas pour rien. Bonne nuit.

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1 juillet 2011

La Fin entraîne le Début.

J'ai jamais utilisé les catégories de mon blog. Sauf sur le début. Mais pas là. Pas sur le milieu, ni sur la fin. Pas la fin maintenant, une fin prochaine. Je vais vous avouer la vérité, je ne compte pas tenir un blog jusqu'à mes 80 ans ! Bonsoir à tous ! L'article de ce soir devrait être assez long, j'ai pas mal de choses à dire. Deux journées à raconter, simplement.

 

La Fin ! Tout débute par la fin, et par un mauvais jeu de mot, un mauvais parrallélisme entre mon verbe et mon complément. La Fin d'une époque, la Fin des vacances, la Fin, malgré tout, d'une bande... De mon appartenance à une certaine bande, à un groupe d'individus plus châtoyant les uns que les autres. Châtoyant est un mot à chapeau, un mot qui sonne bien à mon oreille.

Hier, 30 juin 2011. Matin, oral de français. HAHAHA. Drôle. Marrant. J'espère avoir la moyenne pour la plus grosse improvisation de l'année. Je suis tombé sur le seul texte que je ne voulais pas avoir. Pandore, d'Hésiode. Montrz qu'un texte peut avoir un ton didactique tout étant plaisant. La Fable. Le récit au pouvoir de l'apologue. J'ai raté mon oral et j'ai fait un Hors-Sujet à l'écrit. Heureusement que les Epreuves Anticipées du Baccalauréat comptent pour du beurre pour moi, je change d'orientation, je passe en Bac Pro. Commerce. Vendeur de Jouets. Je commence le 5, mais j'y reviendrais sur ma journée d'aujourd'hui. Restons dans le passé plus lointain, restons hier.

 

Je suis passé en second à mon oral. A 09h20, le sort en était jeté et j'en avais fini des épreuves de Bac pour cette année. Je suis passé me changer au bureau de ma mère, lui racontant ma mésaventure, avant de partir pour chez Camille. Un Bordel monstre pour que tout le monde parvienne chez elle d'ailleurs. Nous avons passé quelques instants seuls, à regarder la télé, chacun sur un canapé quand Anaïs est arrivé, bientôt suivie de Chloé et Laura. Laura 2, Laura 1 n'est arrivé qu'à 11 heures et des brouettes. Encore une fois, j'ai été déçu et attristé par deux choses. La première ce sont les messes basses entre Chloé et Laura. Depuis que cette dernière est célibataire, elle suit et imite Chloé comme un petit chien. Elle s'est mise à fumer et à faire la fête 24h/24h. Il faut bien que jeunesse se fasse, certes, mais une véritable cassure, un véritable changement a eu lieu dans sa petite caboche. J'ai réussi à entendre un de leurs chuchotements, et c'est ce qui m'a attristé. "Elles sont au courant ?" "Je crois pas" Puis rien d'autres. Pourquoi cacher des choses aux gens qu'on aime ? La discussion portait sur Guillaume et Marine, plus sur Guillaume je pense. Et elles savaient quelque chose qu'elles n'ont jamais dit. Cela retombe sur ce que je ressent. Quand Laura 1 est arrivée, elles ont toutes parlées de la soirée chez Laura 2. Je ne peux leur en vouloir, mais difficile d'entrer dans une conversation qui ne nous concerne pas. Je ne suis pas allé à la soirée parce que j'avais un rendez vous à la banque le lendemain, de bonne heure, ainsi que du travail à abattre sur Pré En Bulles. J'aurais aimé qu'Ophélie vienne parce que je me compare souvent à elle. Elle est un peu en retrait, je trouve, par rapport aux autres filles. Nous sommes identiques, du moins, je l'imagine, dans nos façons de pensées,d'agir et de faire des remarques. J'aime beaucoup Ophélie pour ça, et je suis vraiment heureux que Camille lui est donné l'adresse du blog. En parlant de ma petite blonde favorite, elle m'a lancée une pique sans le vouloir ce jour là, avec Anaïs. En effet, l'enfant roi berjalienne écrivait un message et Ana lisait par dessus son épaule. "Tu parles à qui ? Oh !" *Rires de filles après que Camille est montrée le portable. Sur le coup, j'ai été terriblement jaloux de ce possible rival. Pas rival, puisque que Camille ne veut pas de moi. De ce possible... Ah ! Je n'ai aps de mots pour le définir, mais vous avez, j'imagine, saisi ma pensée. Et puis je me suis dit (même si je n'y crois pas trop), que c'était peut être une fille, et que j'étais bête de penser cela. En même temps je le suis, Camille n'est pas mienne. Camille n'est pas ma copine. Mais pourtant, cela me fait un pincement au coeur. Au fil de la journée, ma pensée a peu à peu évolué, et finalement, je souhaite aux deux le plus grand bonheur du monde, si cela se fait. Je l'espère pour Camille, si elle est attirée par cette tierce-personne inconnue.

 

Bataille d'eau l'après midi, et des adieux qui ne se sont pas passé comme je l'imaginais. Je suis très mélodramatique dans l'imagination de mes journées, et je me voyais serrer dans mes bras les 5 filles présentes pour partir ensuite en leur disant que je les aimais toutes. Cela ne s'est pas fait comme cela , tans pis. Elles ont eu droit à un SMS après pour leur dire mon amour profond que j'ai pour elle. Je passe pour un gars sensible, mais je m'en fout. C'est vrai. J'ai des amies, je suis fier de les aimer et de tenter de les chouchouter. Mon plus grand voeux est qu'elles réussissent toutes à être heureuse, et à faire ce qu'elles veulent de leur vie. Deux déceptions, tout de même, sur les présents. L'absence de Charlotte et Guillaume. Ce dernier, je ne me faisais guère d'illusion sur sa venue. A chaque fois qu'une après midi sur Bourgoin s'organise, lui et sa femme trouve un moyen de se défiler. Elle, cela ne me dérange pas, j'ai du mal avec son caractère et son style de pensées. Il est véritablement soumis à côté d'elle, et ce n'est pas le vrai Guillaume qu'on retrouve lorsqu'ils sont ensembles. J'espère qu'il ouvrira les yeux et qu'il changera. Mais si il est heureux après tout... Charlotte, elle, m'a déçue et vexée un peu. Charlotte, c'est le genre de fille en or qu'on rencontre une fois dans sa vie. Pas prise de tête, super cool, super ouverte... Cette fille est tout simplement géniale. Elle m'avait assurée qu'elle venait, mais à finalement annulée pour cause de révisions. Jusque là, aucun soucis, mais qu'elle assure ensuite à Chloé et Laura 2 qu'elle irait en soirée avec elle après, je l'ai eu un peu de travers...

 

16 heures, départ du parc pour le bureau de ma mère. 16h30, décollage de Bourgoin, direction Jazz à Vienne ! Lady's Quartet mené par Rhodda Scott avec la participation d'Alex Tasset, puis Monsieur George Benson !

 

Les portes ont été ouvertes à environ 18h45, et nous étions dans les premiers. Il règne une ambiance particulière dans la queue, ou chacun parle avec chacun, ou tout le monde échange avec son voisin. Nous étions bien placé, sur les chaises à une dizaine de rangées de la scène, le son était bon et nous pouvions voir les musiciens et musiciennes jouées. Un début de soirée assez sympathique, mais qui n'a pas fait vibré la salle, avec le Lady's Quartet de Rhodda Scott. Même la présence d'Alex Tasset (illustre inconnu pour moi) n'a pu réchauffer l'atmosphère. Pour tout vous dire, j'ai mis mon manteau tellement j'avais froid ! J'ai tout de même penser à Charlotte,et failli lui envoyer un message, puisque une des chansons s'appellait "Valse de Charlotte" Puis George Benson est arrivée et à réchauffer tout cela, si bien que je me suis mis en T-shirt ! Incroyable présence de son bassiste, un batteur fabuleux et lui même est véritablement géniale. Parmi le répertoire proposé dans la soirée, cette chanson.

 


George Benson - Nothing Gonna Change My Love For You

(C'est la première fois que je met du contenu dans un de mes articles)

 

Je m'en excuse, mais je n'ai pu m'empêcher de penser à Camille lorsque que George Benson a entamé cette chanson. Elle représente l'Amour, avec un grand A. La passion mêlée à la douceur, la chose que je ressens pour cette fille hors du commun. J'étais mélancolique, pour ne pas dire en bad, à l'écoute de cette merveilleuse chanson. De plus, ma mère et moi étions à côté d'un jeune couple de japonais, qui se sont tenus la main durant toute la chanson. Touchant, et qui m'a donné envie d'avoir quelqu'un à mes côtés pour vivre cela. Puis l'ambiance a littéralement éclatée, avec Give the Night et des tubes qui "groovait" à mort ! J'ai découvert un artiste fabuleux, et j'ai eu une nouvelle envie. J'ai envie d'apprendre à danser. Valse, jazz, des choses qui se dansent à deux et qui sont classes. Le concert était vraiment incroyable, et je suis content de l'avoir vécu. Le Jazz, la musique pénètre vraiment les corps. Au bout d'un moment, j'ai fermé les yeux à l'écoute d'un morceau, et c'est comme si mon sang et mes veines étaient remplacés par des notes de musiques. Lorsque j'ai réouvert mes Paupières, le slogan "Jazz à Vienne" derrière les musiciens s'était mué, à cause de la fumée, en "Jazz à vie". Et j'avais envie de dire oui, tout simplement...

 

Aujourd'hui, j'ai travaillé durant 10 heures sur Pré En Bulles. 8 heures-18 heures. Deux cafés, beaucoup de cocas. La fatigue ne s'est fait sentir qu'en fin de journée, à 18 heures, quand mes parents sont venus me cherché. Avant, j'étais en pleine bourre. Toujours en train de faire un truc. Mon binôme du jour a été Franck, et quand on est juste nous deux, on avance bien. On se pousse l'un l'autre, on est de vrais bosseurs ensemble. Thomas est venue deux heures sur le site comme un glandu, et nous as cassé les couilles, et nous avons perdu de notre efficacité lorsque Typhaine, la copine de Franck, est venue bossé avec nous. Voilà un couple que je n'envie pas du tout, soit dit en passant. J'ai reçu un drôle de message de Guillaume en fin de journée. Drôle dans les ens de bizzare venant de lui. Il s'est excusé platement de n'avoir pu venir hier après midi. Sincérité ou poussé par quelqu'un, par les filles ? Il a retiré ses excuses ensuite par un "j'rigole", mais elles étaient bien là. J'ai apprécié le geste. J'aurais vraiment aimé déconné avec lui une dernière fois avant la fin de mes vacances.

 

Enfin, 19 heures, le début. Signature de mon contrat de travail. Je suis officiellement salarié, et je commence le 5 juillet. J'ai hâte ! La Fin entraîne le début...

 

E.Parwis

28 juin 2011

Vous avez gagné un article.

La Mort. La Chaleur. La Vie. Les Amis. Ce Blog. Bonjour, je vais bien. Bonjour, je vais mieux. J'ai déjà planché ça, je crois, au début de mon blog. Je crois parce que pas sûr. Je n'ai pas relu les articles, j'ai oublié la moitié des choses que j'avais écrit. Un modèle de mémoire, je sais. Merci. *Clap Clap* Applaudissez moi et envoyez moi des fleurs.

 

Je suis entré en dépression, je crois. De décembre à avril. C'est long quand on a 16 ans. Une dépression, selon ma définition, c'est ne plus avois envie de rien. Ne plus être bien dans sa peau, ne plus être bien ou on est. J'ai était à, tout les matins, dans la voiture de ma mère, espérer qu'on est un accident pour ne pas arriver au lycée. Tout les matins la même chose, et penser toute la journée à une seule chose : partir. Je suis un geek. La seule chose que je faisais et que je fais chez moi, c'est de l'ordinateur. Gros geek de base qui ne pense pas à autre chose que ces jeux. Je me débecque. Immonde, infect. Et pourtant, je ne sais faire que cela chez moi. J'étais un gros lecteur avant, même ça je n'y arrive plus. Je n'arrive plus à entrer dans le livre, à me concentrer, à rester devant un bouquin. Non, ma vie tourne autour de l'écran. Avant, je faisais du RP. C'est à dire qu'on écrit des histoires sur des forums, avec pleins de gens. Même ça je n'y arrive plus. Je n'arrive plus à écrire comme avant. Je ne suis pas tout à fait "guéri" de ma dépression, il y a encore de nombreuses choses pour lequel je n'ai pas retrouvé le goût. Quelque chose que je n'ai dit à personne, et que je vais étaler ici, j'ai une psychologue durant 6 mois. Une fois par mois à parler, à découvrir ce qui ne va pas, à lutter. En 6 mois, elle a réussi à me changer un petit peu. C'est grâce à elle que je vais mieux, mais aussi grâce à moi. Le changement d'orientation m'a aidé. Trouver une école et un patron seul m'a aidé à me sentir plus en confiance en moi même. Je suis heureux quand je suis à Joué Club, alors que je n'ai même pas commencé à travailler. On m'y a pris pour un vendeur d'ailleurs aujourd'hui. Quel fierté, alors que je ne commence que le 5 juillet ! J'ai vraiment hâte de vivre cette nouvelle expérience, qui sera, ô combien, enrichissante pour moi.

 

J'ai chaud. Je suis en jogging remonté en genoux, torse nue, et je crève de chaud. J'hésite à me mettre en caleçon nu, vraiment. Je me tâte, mais je sens que je vais me mettre un drap sur les parties génitales bientôt. Petit pronostique sur une nuit de merde.

 

La vie, c'est les amies. J'ai mis un "e" sans m'en apercevoir, mais elles sont plus présentes que le sexe dit "fort" dans mon cercle d'amis en tout genre. Finalement je m'en suis aperçu. Camille a donné l'adresse de ce blog à Ophélie, qui l'a lu. Je me doutais que cela arriverait. J'avais mis le lien, inaperçu, sur Tweeter, pour provoquer un peu le destin. La chabonnaise de mes amies à lu le blog entièrement, elle me l'a dit, et m'a envoyé un message très touchant. Elle a réagie à toutes mes incertitudes que j'avais lâché ici. C'est à ce cela qu'on reconnaît un véritable proche. Pas l'amour qu'il vous envoie. Ophélie vient de le faire. Cela m'a fait vraiment plaisir, et cela m'a terriblement touché. Quand j'écris ça, on pourra croire que j'ironise, mais pas du tout. Elle... Je ne sais pas trop comment décrire ce qu'elle a envoyé. Je lui est dit et je le redis ici. Merci. Tout simplement Merci. C'est le genre de personnes assez discrète (Ophélie est assez discrète, nous devons le dire) mais qui sont toujours là pour toi. Les piliers. J'espère pouvoir, un jour, lui rendre la pareil en 10 ou 100 fois plus que ce qu'elle m'a fait pasé, que ce qu'elle m'a envoyé. Son message m'a chamboulé, voilà. Merci, merci encore. J'en est une boule dans la gorge, pour tout vous dire. Et à en parler ici, je l'est toujours. Pas très viril, pas très masculin, mais j'vous emmerde. Personne n'est tout dur. On a tous une sensibilité qu'on tente de cacher plus ou moins bien.

 

Je ne sais pas à qui Camille à donner le lien aussi. Peut être Anaïs et Laura ? Je redoute un peu la réaction d'Anaïs. Elle est celle qui m'a écouté, qui m'a botté le cul, qui m'a remis dans le droit chemin. Je ne sais pas si cela l'emmerdait que je lui parle, que je lui balance toute la noirceur de mon âme, mais elle m'a toujours écouté parler quand je lui est demandé, quand j'en avais besoin. Pour ça, je lui dis merci. J'ai envie de remercie tout le monde ce soir. Ophélie, Anaïs, Camille de me parler chaque soir, malgré mes aveux honteux, ma prof' de français pour son soutien tout au long de l'année... Je pense lui envoyer un mail après. Mes pensées vont pour tous, je vous envoie à tous mes voeux de bonheur et mes ondes positives +++.

 

J'ai revé d'Anaïs cette nuit. D'un âne dans un pré, du lycée et d'un bs avec d'autres personnes. un rêve assez bizzare, comme tout mes rêves. Anaïs est reine dans une catégorie, la reine des questions et des phrases qui font mouches. Mise en boîte, curiosité ou bien sincérité ? J'ai oublié le mot que je cherchais, je crois que ça ressemble à audace. Je vais le chercher, je reviens. Spontané. Remplacez sincérité par ce mot, et vous aurez mes interrogations.

 

E.Parwis

26 juin 2011

C'est la vie, pas l'paradis...

La chanson de Zazie, le titre de la chanson de Zazie surtout, reflète bien ce qu'est la vie. Déception aussurée, déception arrivée. Je garde néammoins le sourire, c'est bien entendu prévisible. C'était bien entendu prévisible, pardonnez cette erreur de temps. J'en hausse les épaules, la vie est ainsi faites. De joie et de déception. C'était pas le grand jour, ça le sera plus tard. Tant pis. Tant mieux. Tant. Vie. Pourquoi s'obstiner à dire la vérité quand on connaît la réponse ? Je ne me plaindrais pas sur mon sort, c'est comme ça, pas autrement. J'ai pris une décision aujourd'hui. Tout à l'heure dans ma douche en fait. Le 30 jui, comme vous le savez, je devais donner ce blog à mes ami(e)s. Je ne le ferais pas. Trop de choses personnels, et je ne veux pas gêner Camille plus que cela. Elle en parlera sûrement aux filles, c'est normal. L'amitié sert à ça. Je ne me confie que peu aux gens. Je l'ai beaucoup fait à Anaïs en début d'année, quand j'étais vraiment mal, mais sinon, je ne me confie pas. Je n'aime pas parler de moi, je n'aime faire mon égoïste comme cela. Je préfère écouter, être l'oreille du monde, du mon de mes potes au moins. Anaïs ne se confie pas trop. Pas trop à moi. Personne ne se confie à moi. Parfois, on vient me voir, on me dit "ça va aps", on discute, j'écoute, j'entend ce qu'on me dit. C'est tout, rien de plus. Ni dans mon cercle d'amis du lycée, ni dans mon cercle d'amis des historiales. J'en souffre beaucoup. Je souffre du fait que les gens ne me parlent pas. Ne me font ils pas confiance ? Pourquoi ? Je me sens souvent exclu, que ce soit avec mes ami(e)s du lycée ou des historiales.* Mais je sais pourquoi. Les unes sont des filles, les autres ont un ou deux ans de plus que moi. De plus, je ne sors que peu. Peu de délires de soirée, peu de chsoes comme cela... Comme la fête de vendredi, de Laura, à laquelle j'ai décidé de ne pas y aller pour me consacrer aux historiales le lendemain. J'ai loupé beaucoup de choses, et je le regrette beaucoup.

 

Deux choses me font souffrir. Cette non-confiance que les gens m'accordent et l'image que les gens ont de moi. Je fais style je m'en fous, la vie est comme ça, faut tout dire ce qu'on pense et ainsi de suite, mais cela m'angoisse vraiment. Encore ce soir. Je suis parti des historiales*, et la première chose à laquelle j'ai pensé est : "Parlent ils de moi ? Que disent ils de moi ?" J'ai déjà mauvaise image dans l'opinion de beaucoup de personnes, je ne voudrais pas finir entièrement seul. J'aime la solitude, mais je ne pourrais de ne plus avoir personne autour de moi. Je souffre déjà assez aujourd'hui malgré mes deux bandes d'amis, lycée et historiales*, Je ne sais quel serait ma réaction si tous m'en foutaient plein la gueule pour me lâcher... Cela n'a pas de raison d'arriver, du moins, je n'espère pas...

 

Je me suis boîté en Scoot' avec un pote aujourd'hui. J'ai pas grand chose, un p'tit truc à la main et auu genou, les deux du côté droit. Mon pote, Loïc, a mal à la jambe, qu'il a toute éraflée. On n'est pas allé aux urgences bien sûr, pas besoin. En fait, on montait aux historiales*, et la barrière était fermée. Loïc l'a vu au dernier moment, il a freiné dans les graviers, on est tombé. Le Scooter a morflé, mais roule encore, et, heureusement qu'on allait pas bien vite, on a pas grand chose. C'est une expérience de la vie de plus que je vis. Peut être que j'aurais des cicatrices ? J'aimerais beaucoup, paraît que ça fait plus masculin, et ça montre ce que j'ai vécu. Des cicatrices, j'en est deux. Une à l'épaule droite, qui date de la quatrième, date où on m'a enfoncé un stylo dans l'épaule, et une qui date de septembre. Poignet droit, je me suis brûlé avec la plaque chauffante du four. Ma peau a parfois une belle couleur argentée.

 

E.Parwis

 

*Historiales : Plus précisément, Festival de l'Histoire en histoires. Les Historiales , c'est un spectacle son et lumière historique qui se jouent 10 jours dans l'année, et je participe aussi, dans la même association, à Pré En Bulles, festival jeune public à Pressins du 3 au 6 juillet. On est une bonne bande de mecs là bas : Thomas, Loïc, Kevin, parfois Franck, et moi... On se marre bien. Y'a mon ex' là bas aussi. J'aime cette association de tout mon coeur, c'est ma seconde famille, ma seconde maison. J'y est des amis de 7 à 77 ans et j'en suis fier, plus que tout.

25 juin 2011

Laissez moi en paix.

Laissez en paix. Le gros message de ce soir. La journée a été plutôt bonne, assez fatiguante. Banque, travail, manger, appel à une radio, répétition, tournage d'une parodie, meilleure amie et son père chez moi, et mini prise de tête avec mes parents ensuite. C'est d'eux que provient le message de soir, et de mon ex' aussi. Elle me casse les couilles, avec ses manières. Je lui parle comme je veux, merde. Si elle est susceptible, c'est pas ma faute. J'ai acquis un de mes trois voeux personnels : j'ai le travail. Me manque l'amour et l'appartement. Nous reviendrons, je reviendrais du moins, à l'amour tout à l'heure. J'ai véritablement envie de me casser. De me casser de chez moi, d'avoir un petit chez moi, pas bien grand, même un mobilhome, mais un chez moi. Être indépendant, tranquille, et maître de maison. A 16 ans, j'ai déjà envie de la vie d'un adulte. Je n'ai que la soi disant maturité de l'âge adulte, pas le reste. Mais pourtant, je n'aspire qu'à une chose, la Liberté.

 

Notre socité interdit toute formes de libertés, par, justement, un trop grand nombre d'interdit. Interdire quelque chose, c'est le faire penser aux gens et les inciter à agir. Ceci m'a été appris par mon prof' de maths de cette année, homme très intérréssant, passionnant et passionné par son métier. La société française interdit donc toutes formes de libertés, puisque la censure et la loi sont partout pour nous entraver. Nous sommes tels des animaux, en cage, dans d'immense réserves naturelles qu'on apelle des pays. Mon corps crève d'envie d'être libéré. Mais hélas, cela n'est pas possible.

 

Amour. Voilà 23 heures que j'ai envoyé mon message. Aucune réponse, ce n'est pas faute d'en avoir attendu une toute la journée. Je n'en aurais certainement pas. Dommage. Aucune réaction.

 

Ceci est un article court et avare de qualité. Dommage.

 

E.Parwis

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24 juin 2011

Comme d'habitude... DOUTES !

Aujourd'hui, article avec participation du public. Le public, c'est vous ! Pas de numéro surtaxé, pas de SMS voleurs et assassins, mais un numéro, peut être, quand même, pour certaines personnes. Bref, nous verrons cela à la fin de mon article, que je risque de finir à la fin du repas. En effet, il est 19h16 quand je commence à écrire, et mon père vient de finir sa douche. Nous n'allons donc pas tarder à partir au restaurant, profitant de l'absence de mon petit frère. J'ai rêvé de Camille la nuit dernière. Un rêve très doux, très tendre. Je luie st dit que j'avais rêvé d'elle, par texto. "Ah ?" "Oui :)" Voilà le texto qu'elle m'a envoyé, et ma réponse par la suite. Nous nous sommes vu ensuite l'après midi, avec Nathan, pour faire deux heures de code. Elle n'avait pas l'air très intérréssé par mon rêve. Je suis un peu déçu, égo oblige, mais je ne lui en veux pas. Je ne suis même pas sûr qu'elle lise ce blog. Impatience oblige. Je lui est envoyé le lien mercredi soir, et elle n'a lu que 10 lignes. Encore une fois, un peu déçu, égo oblige, mais je ne lui en veux. Je n'ai jamais été patient, cela ne commencera pas aujourd'hui.

 

J'ai donc rêvé de douceur et tendresse cette nuit. De Camille. C'était l'après midi. Nous étions dans un appartement, du genre du sien, un peu plus grand tout de même. Il y avait mon petit frère dans un coin, jouant avec un simulacre d'enfant. Camille n'a ni frère ni soeur, c'est une enfant roi. Je la sers dans mes bras, deux ou trois fois, puis, sans savoir pourquoi (j'ai oublié), je vais à la salle de bain. Quand j'en resors, Camille est nue. Un peu honteux, en effet, surtout si elle lit cette article, mais c'est l'honnête vérité. Elle était nue, et une fine pellicule d'eau parsemait sa peau. Elle avait un petit brumisateur, qu'elle s'était aspergée dessus. Je la sers une nouvelle fois, avec tendresse, dans mes bras, et mon rêve se termine comme cela. Je tiens à dire d'ailleurs que c'est un endroit très confortable que les bras de Camille. Du moins, c'est ainsi que je l'imaginais. Un rêve très doux, donc, comme vous vous en êtes aperçu.

 

Là interviens votre participation. Je ne suis pas sûr de l'aimer véritablement, mais je suis bel et bien très attiré par cette fille. J'ai été une fois amoureux. 1 an après, Marion, elle s'appelle Marion, hante toujours mes pensées assez régulièrement. Pourtant, cela fait 4 mois au moins que je ne lui est plus parlé. Là interviens votre participation, parce que je doute. C'est le ttire de cet article, qui avez deviné que je parlerais de doutes ? Félicitations, vous êtes perspicace ! Que dois-je faire ? Ce soir, Camille à une soirée, nous ne parlerons donc pas sur facebook comme tout les soirs jusqu'à minuit et demi. Je ne me couche pas juste pour elle d'ailleurs. Comment lui dire ? La prochaine fois que je la revois, ce sera le 30 juin, mais nous serons nombreux. Je veux voir tout mes ami(e)s de la classe à Bourgoin après mon oral. Kébab et après midi de rien dans un parc je pense. Ce sera une des dernières fois que je les vois avant de commencer à travailler. Que dois-je faire ? Répondez par SMS, au numéro que certaines connaissent, votre réponse. Sinon, vous pouvez chercher le numéro sur mon blog ou bien répondre dans les commentaires.

 

1-Ne lui dit rien.

2-Dit lui par texto ce soir.

3-Dit lui par texto ou Facebook dimanche.

4-Dit lui en face le 30.

 

Je prends une petite pause restaurant, je reviens finir cet article après.

 

Me revoilà de retour, 22h30. J'ai passé une soiréer trés agréable avec mes parents au restaurant. On vient de récupérer mon petit frère, j'ai pu le narguer un peu. C'est méchant, certes, mais ils sortent souvent quand je suis en soirée. J'avais pleins de choses à dire avant le repas que j'ai toute oublié malheureusement. Je voulais certainement parler de Camille, comme d'habitude. Toutes les filles, Camille, Laura, Anaïs, Charlotte et Chloé sont chez Laura.2 à Dizimieu en soirée. J'aurais voulu y aller, mais demain matin, rendez vous à la banque et formation incendie après. Une journée chargée en perspective puisque j'enchaîne sur une répétition des historiales et le tournage des histozanes, avant de recevoir ma meilleure amie et son père chez moi. Je ne sais pas si je lui parlerais de Camille. Je ne pense pas. Je préfère garder ça pour moi. Pour moi et vous, puisque j'épanche mes pensées, ici. D'ailleurs, merci pour vos nombreaux commentaires. Ils m'apportent tous une chaleur au corps, car ils prouvent que je suis suivi un minimum. Merci pour ça. Camille, je t'aime. Voilà, c'est dit ici. Je le met en gras et gros pour qu'elle le lise si elle passe un jour par ce blog. J'ai décidé, et c'est vrai. Je suis dingue de cette fille. C'est tout. elle hante mes pensées. Le sondage précédent reste d'actualité. Demain, texto aux filles pour leur proposer une bouffe en ville et une après ensemble le 30. Je suis d'humeur à embrasser le premier connard venu ce soir, selon les paroles de Grand Corps Malade. C'est un peu. Je suis heureux, je suis bien, je suis amoureux, je veux crier à Camille, à mes amies et à la vie que je les aime. Bordel ! Vive tout ça quoi ! J'ai bien parlé avec mon père ce soir. Quelques minutes où ma mère est allé au toilettes. J'en suis très heureux, je lui parle plus qu'avant, mais toujours peu par rapport à ma mère. Il a fait son premier mariage à Dizimieu, ville de Laura.2 . Je lui dirais demain, par texto, à 16 heures, quand j'aurais illimité. Vive la vie, la musique, les fleurs et les feuilles. Vive vous, vive nous, vive eux. Le monde mérite le bonheur et la joie, et j'espère que j'irradie assez de tout mon corps pour que la Terre porte mieux sa peine. Youhou ! Le Jazz est bon, mon état parfait. Je suis comme lors de la rédaction du tout premier article de ce blog. Vibrant de sincérité car écrivant sur l'instant. Je fustiges les mauvais penseurs. Fustiger est un beau mot, comme séduction, câlin et rêve. Je rêve de Camille, voilà qui est beau. Comme Camille, qui est belle. Tout est beau, comme les oiseaux. Voilà. Bon. Prout. Pouf. Floc. Rock. Scrotte. Slack.

 

E.Parwis

23 juin 2011

Aujourd'hui

Aujourd'hui, je me suis fait chier. Aujourd'hui, ma première ex' est venue. Je savais que c'était une mauvaise idée. Je le sais depuis hier en fait, suite à la prise de tête qu'elle m'a octroyé avec tant de gentillesse. A l'instant où elle a passé la porte, j'attendais le moment où elle la repasserais pour repartir. Décidément, elle fait véritablement partie de mon passé. C'est une bonne chose je trouve, je deviens un adulte, je fais une croix sur ce qui a caractérisé mon adolescence. Adulte dans le sens monde du travail et tralalala. Et on remarque que je ne fais pas une croix sur mon enfance, elle est trop précieuse pour être perdue. Chacun devrait garder une âme de gamin enfouie en soi. C'est important de savoir s'émerveilelr devant de petites choses. Un champ de pâquerettres, une cocinelle, une libellule... La Nature, tout simplement, que l'on oublie trop dans notre monde de déchets et de capitalistes. Suceurs de sang et de dollars. J'ai lu dans une B.D. de Lardo Winch. Marie ressemble au mot maire. Je veux écrire maire quand j'écris M-A-R-I-E. Drôle de chose. Drôle. Un chapeau. ^. Grande conversation hier sur la beauté des mots à chapeaux, comme câlin. Pas Bâtiment, mais gratte ciel. Parce qu'il chatouille les aiselles des nuages et du soleil. Pas de chapeaux, mais amusant. Je tente de meubler cette article. J'ai véritablement peur, véritablement la trouille de la réaction de Camille, la petite blonde toute mignonne, à la vue de ce blog. Je la vois demain. Aurais-je (ou non) une réaction ? Enfin, je la vois demain, je vais faire du code avec Nathan aussi, son voisin. Je l'aime bien Nathan, il est sympa. J'ai envie de décrire Camille. Tâche peu dfficile face aux flots de pensées qui se déverse quand je prononce son nom et que je vois son visage, mais délicate dans la mesure, où, peut être, elle traîne sur ce blog. Demain je devrais manger à midi d'ailleurs, pour prendre le train à 13h12. Bref. Camille est blonde, et petite. Mais Camille a un visage des plus passionnants. Une tête d'enfant qui rendent toutes ces expressions mignonnes, et une qualité d'expression assez impressionnante. elle arrive à plisser son nez, et chaque seconde de son existence nour offre quantité de délires visuels. J'adore cette caractérisques chez Camille, par ailleurs fille/femme très intelligente, parfois stressée, toujours amusante et disponible pour ses amis. C'est quelqu'un de bien, je l'aime beaucoup (trop)(j'avais de mettre trop entre parenthèses, pour renforcer l'ambiguïté de ce que je pense d'elle. Pas de nos relations, hélas pour moi) comme vous le savez bien.

 

E.Parwis

22 juin 2011

La vie, c'est comme des chamallow. Aucun rapport.

Bonjour ! Comme vous pouvez le voir, ce titre ne veut rien dire. Une signification particulière peut être ? Même pas ! C'est juste qu'il veut rien dire pour le plaisir de il ne veut rien dire. En fait, j'avais trouvé un titre génial dans le train, mais, bien entendu, je l'ai oublié. Comme d'habitude, on commence à connaître, à s'habituer. Ce soir, je vais aborder, pour l'instant, trois thèmes principaux. Mes amies, comme d'habitude, ma toute première Ex' et la SCNF.

 

Les Amies. J'étais partie, ce soir, aux alentours de 18 heures, pour écrire un article boudeur sur elles. Ce que je vais faire. En partie. L'énervement est passé. Aujourd'hui, Lilates. Comme d'habitude. Le plus grand Parc de la ville de Bourgoin Jallieu, l'endroit où on est le plus souvent fourré. Il y avait Camille, Laura G., Laura P., Anaïs et Chloé. Comme d'habitude, aux lilates, le grand jeu, c'est de piquer mes chassures. Elles s'y sont repris à deux fois avant d'y arriver, mais elles l'ont fait. Comme d'habitude, encore. J'utilise beaucoup Comme d'Habitude ce soir. Donc. Je vole, en contrepartie, une chaussure à Chloé, normal. Sauf qu'elles ont enlevées mes lacets ! Et oui, ça m'a énervé, je suis un gros gamin. J'ai rien dit, j'ai récupéré ma chaussure (J'y tiens en plus, chaussure de villes) et j'ai remis mes lacets. Mais ça ma énervé. Je ne sais pas souvent m'arrêtter, mais elles non plus ! Bref, coup de gueule ce soir, mais je les aime toujours autant. Normal. Elles restent mes amies quand même.

 

Ma Première Ex'. Nom de Dieu, elle m'a gavé aujourd'hui ! Elle était à Bourgoin elle aussi aujourd'hui, et m'apelle pour qu'on se voit. Jusqu'ici , pas de soucis. Seulement, quand j'ai dis que j'étais avec mes potes de Saint Marc, mes "fantasmes" comme elle dit, elle a raccrochée et à boudé, alléguant qu'elle regrettait d'avoir décalé ses heures de conduites pour me voir à Pré En Bulles. Pré En Bulles, c'est un festival jeune public à Pressins, dans les bois. Spectacles, Animations... C'est notré bébé. J'y suis bénévole, Anaïs aussi. Je lui est dit que si elle y allait, c'était pour travailler... Elle m'a renvoyé un message il y a 1 heure et demi avec un monsieur bonhomme triste. ( :( ) Arg ! ça aussi, ça m'a énervé.  Journée pleines de joies et d'énervement en somme.

 

SNCF. Un peu choqué par la SNCF aujourd'hui. Retards habituels bien sûr, mais par leur méthodes de réparation. C'est un fait divers tout vous n'avez pas dû entrendre parler, mais je vous en parle tout de même.  C'est passionnant, vous verrez ! Hier soit, orages dans la région, la foudre s'abat sur les lignes SCNF, coupant un câble à hauteur de la gare de bourgoin. En face du quai. Résultat, près de 90 minutes de retard pour la plupart des trains. Un joint électrique a été fait pour réparer le câble électrique, et je vous cite ici des bouts de conversations entendu sur le quai.

 

Selon un agent de la SNCF, La réparation n'est pas soldie,et il a peur que tout pête au moindre passage d'un train. Il y a quand même 25000 Volts au dessus de nos têtes. Le conducteur du train au dessus duquel le câble s'est cassé, lui, s'est félicité d'être là. Selon lui, si le câble volait, ç'aurait été une hécatombe sur le quai. Rassurant non ?

 

Soldes. Finalement je vais parler des soldes aussi, un peu. Aujourd'hui, à Celio, j'ai acheté un magnifique costume beige pour le mariage de ma Cousine, Short, avec une chemise en lin noir, ainsi que deux jeans, un noir et un beige et de deux T-shirts. Je suis très content de mes achats, surtout du costume.

 

Enfin, pour finir cet article, j'ai donné l'adresse du blog à Camille, la petit blonde, dont je parle beaucoup précédemment. J'appréhende beaucoup sa réaction (répétition de beaucoup). Elle a lu dix lignes ce soir, et finira plus tard. Tout cela est strictement terrifiant. Tout perdre ou tout gagner, ce sera le dilemme des prochains jours !

 

E.Parwis

21 juin 2011

Ceci est de la faute de quelqu'un.

Ceci est de la faute de quelqu'un. La fille d'en face pour être précis. Paraît-il qu'il y a un jeu chez les blogueurs en ce moment. Le jeu des 7. Si tu te fais tagué, tu dois dire 7 choses sur toi et tagué 7 autres personnes. Drôle ! Comme si je connaissais 7 blogs. En vrai, je n'en cherche pas. Pas bien intérréssé. J'en connais deux actuellement. Celui de Théa et celui de cette fameuse fille d'en face. Je vais tout de même relever le défi, parce que qu'il me titille. Ecrire 7 choses sur moi spontanément. Et Action je ferme les yeux !

 

Ordinateur, jogging, portable, musique, porte monnaie, Le Chat et une pochette. Les 7 premières choses qui me sautent aux yeux, donc qui sont moi. Vous êtes prêt ? On commence !

 

Ordinateur : Deux choses, deux objets édictent ma vie. Mon ordinateur (Gros geek assumé)(Je ne suis pas gros)(Y'a ma console aussi, surtout depuis quelques temps avec Race dRiver : GRID)(Mais j'y joue moins, elle fait partie des objets qui guident ma vie) et mon vélo ! Mon ordinateur d'abord, j'y passe mes journées entières, avec ma console. Surtout quand il pleut. Quand il fait beau, et que j'ai pas la flemme, moins. C'est ici que je dicte mes relations. Ma vie est liée à ce PC et à I-tunes, dans le PC. Le deuxième objet, c'est mon vélo. Mon chou. Je lui parle, je le chouchoute, je l'apelle mon chou. Je passe ma moité de vie ensolleillée sur cette engin, même si j'ai que 500 mètres à faire. J'ai découvrir les chemins de terre, monter et descendre les côtes, observer le paysage. Tout ça avec un pote, et parfois seul. Tranquillement. C'est reposant quand même !

 

Jogging : On est bien dedans, il est confortable, je le mets de plus en plus. A une époque, je pouvais pas le blairer, maintenant j'ai de la peine à m'en séparer. J'ai, en gros, trois styles principaux d'habillement. Que j'adore tous. Le style jem'enfoutisme. Jogging, ou alors jean troué de partout, T-shirt trop large Bob Marley ou Brasil. Le style normal. Jean T-shirt, simple. Le style classe. J'ai une grande collection de chemises, de cravates et de pantalons et vestes de costumes. J'adore m'habille chic. Je me trouve beau, et c'est les seules fois.

 

Portable : Illimité de 16 heures à 20 heures. Illimité SMS j'envoie. 06-43-44-1*-27. Je suis un fou, je balance mon numéro sur le net. Samsung Player Star tactile, mon portable est génial je trouve, et il marche plutôt bien. Sauf quand il s'éteint tout seul, comme une vieille bouse parce qu'il a décidé de ne plus avoir de batterie. Il suffit de le rallumer, et, magique ! De la batterie. Bref. Je change de forfait, et donc de portable, en septembre. Orange, 19,99. 1 heure d'appel, SMS illimité. Et c'est bibi qui va payer avec son salaire. C'est par l'intermédiaire de cette chose noire que j'ai envoyé tout mon amour à mes amies , et ce trois fois en trois semaines environ.

 

Musique : Jazz, rock, chanson française, metal, Hip-Hop, Rap de plus en plus, punk... I-tunes rythme mes journées et mes oreilles. Je passe mon temps à écouter de la musique. Un peu moins maintenant, vu que je n'ai plus d'écouteurs. Pas de chance, vraiment pas de chance. Sinon, jai vu Bénabar, Les Enfoires, MC Solaar, Lynda Lemay et Green Day en concert. Mon rêve serait de voir Renaud sur une scène, car c'est le type que j'admire le plus dans la chanson française et engagée. J'en oublie, dans ma liste, le SLAM et un tout petit peu d'électronique. J'ai des goûts très éclectiques.

 

Porte-Monnaie : Plus vite que plein, la plupart du temps. Enc e moment, j'ai 10 Euros sur moi, des tonnes de cartes et des anciennes factures. C'est un excellent porte-monnaie Puma en cuir, que j'ai un jour trouvé dans le bus avec 22 Euros dedans. J'ai donné deux euros à ma voisine et j'ai gardé les 20 Euros pour moi. Le partage équitable des choses.

 

Le Chat : Une touche d'humour chaque jour, c'est mon calendrier perpétuel illustré par Geluck. J'aime Le Chat et ses réfléxions, souvent drôles, toujours pertinentes, parfois ravageuses. C'est un humour auquel j'adhère complètement. Sinon, j'aime aussi les chats et je demande depuis des années un chaton à mes parents. Malheureusement, ma mère est allergique aux poils de ces jolies petites bêtes et les chats hyppo-allergéniques coûtent trop cher. J'aime les chats plus que les chiens parce que c'est un noble félin, qui a une vie des plus enviables. Dodo, Jeu, Manger. Voilà les trois mots qui rythment la vie d'un chat. De plus, c'est manipulateur et calculateur et drôlement mignon.

 

Une Pochette : C'est une pochette rouge qui a une histoire jeune, mais particulière pour moi. Elle m'a été donné par ma future employeur, la directrice de Joué Club, et elle y contient tout mes documents relatifs à ma future vie preofessionnelle. Dans le même style, mon trieur, rouge aussi, est entièrement écrit dessus, et c'est un foutoir terrible.

 

Voilà, les 7 choses de ma vie. Je ne tague personne, Théa ayant été taguée et La Fille d'en face l'ayant déjà fait. En contrepartie, je vous balance leur lien.

 

Big Up.

 

E.Parwis


http://lafilledenface.canalblog.com/

http://hallocharly.canalblog.com/

 

21 juin 2011

Pleins de choses

Pleins de choses à dire, pleins de choses à penser. J'en est oublié la moitié juste en montant mes escaliers, et on admire la rime moitié/escaliers. La presque rime. Bref. Première chose. Faut il être obligatoirement sans un sale état (Sans aller jusqu'au mot dépressif) pour tenir un blog ? NON ! On peut être fou aussi. Ou faire des blagues. N'empêche que les deux blogs que je suis en ce moment (Vous les retrouverez dans les commentaires de l'article précédent, il s'agit de la Fille d'en face et de Théa) dépeingnent une vision plus sombre que lumineuse de la vie. Je vous conseille par ailleurs de les lire, ce sont de très beaux textes à chaque fois. Le Blog de Théa en particulier me "choque le plus". Choqué n'est pas le mot qui convient, mais il me fait beaucoup réagir. Pourquoi ? Parce que c'est la vie d'une jeune femme post bac, de 21 ans. Une jeune femme qui se rend compte que , peu à peu, elle s'est éloignée de ces ami(e)s du lycée. Voilà la chose qui me fait peur. Le plus peur dans ma vie actuelle. C'est de perdre mes ami(e)s. Je pense aux quatre filles, comme toujours, quand je dis cela. L'an prochain, je ne serais plus au lycée. Elles passent toutes en Terminale, quand moi je pars en Bac Pro Commerce. Changement d'établissement et de rythme de vie. Changement de groupe de pairs. Mais je ne veux pas les perdre.

 

Je suis un agoissé de nature. Peur que mon magasin se casse la gueule, que l'école ne me prenne plus, que Joué Club m'apelle pour me dire qu'ils ne peuvent plus m'embaucher... Tout les éléments de ma vie me font peur. Tous sont sources d'un nouveau sujet de stress permanent. Je suis continuellement sous pression.

 

Ecrire sur un blog, c'est comme suivre une thérapie, sans les conseils après du spécialiste. On couche sur le net ce qu'on pense, ce qu'on dit. On se vide l'esprit et le cerveau, et forcément, on se sent mieux. Vidé. Et puis, si on réfléchit bien, les spécialistes sont les autres blogueurs.

 

Finalement, je n'ai rien d'autre à dire. Tchou.

 

E.Parwis

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E.Parwis, la vie d'un inconnu
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